Le petit mode d’emploi des Routes électriques !

Les routes électriques

Nous sommes à l’ère des nouvelles technologies de l’information et de la communication et fort est de constater que tout évolue, à une vitesse incroyable. Le monde de l’automobile ne déroge pas non plus à la règle. Avec l’innovation des voitures électriques, plusieurs questions ont été soulevées et l’une d’elles est de trouver comment faire pour éviter que ces voitures ne tombent en panne à cause d’une insuffisance d’énergie. En vue de remédier à cette inquiétude, les chercheurs ont inventé de nouveaux types d’autoroute avec des fonctionnalités propres à elles : il s’agit de l’autoroute électrique. En suivant ce lien https://im.solar/fr/ , vous aurez l’opportunité d’apprendre suffisamment sur ces routes électriques.

Fonctionnement des routes électriques

Grâce à la société américaine Qualcomn Halo, il est techniquement possible de rouler à l’infini avec sa voiture électrique sans jamais s’arrêter ou sans avoir à la recharger. La société a en effet procéder à une démonstration de ses capacités sur un circuit d’essai en faisant rouler une Renault Zoe et une Renault Kango sur une route équipée de ses composantes. Ce n’est plus utopique de dire que les voitures électriques on la capacité de rouler et d’être rechargé en même temps.

La technique développée par les laboratoires Qualcomn s’apparente à la technique des plaques à induction ou aux techniques déjà développées pour la recharge des Smartphones sans fil. Il se crée un fort champ magnétique dès lors que la voiture passe sur les routes dans lesquelles sont enfouies les composantes techniques. Les deux boîtes mises sous la voiture, une à l’arrière, l’autre à l’avant transforment cette force récupérée en électricité.

La vitesse optimale conseillée pour le moment pour pouvoir permettre aux véhicules électriques de se charger est de 60 km/h. C’est ce niveau qui garanti la neutralité énergétique. Si vous êtes à moins de 60 km/h, le véhicule peut recharger sa batterie étant donné qu’elle consomme moins qu’elle ne recharge. À plus de 60 km/h elle charge moins que ce qu’elle consomme. La technologie n’est qu’à ces débuts et elle sera forcément emmenée à évoluer.

Selon la société Qualcomn, la technologie sera prête à être utilisée dans une dizaine d’années. Le problème qui se pose alors est de savoir à qui reviendrait le financement de la pose des routes électriques. Est-ce à l’état ou les villes dans le but de diminuer la pollution et faciliter le passage à l’électrique ou les constructeurs qui feront des économies sur la taille des batteries. Dans le contexte actuel d’austérité budgétaire, rien n’est gagné. Le système pourrait être rentable sur les routes très fréquentées ou devant les feux rouges dans les villes. Les autoroutes privées quant à elles peuvent les mettre sur une partie de leurs parcours